29/09/2010: Retour sur Noirétable

    

        

        L'enduro est devenu une discipline des plus exigeantes.

        Au nom du spectacle et de la rentabilité financière, les organisateurs ajoutent de nos jours au parcours de liaison et aux spéciales naturelles, des épreuves dites “extrêmes“ dont le public raffole. En conséquence, les résultats finaux des courses dépendent de plus en plus de la manière dont un pilote franchira les fameux pierriers qui s'avèrent parfois catastrophiques même pour un champion. Les chutes sont nombreuses dans ces pierriers, ce qui fait hurler le public avide d'images choc et les accidents en tous genres y pullulent.

        Sans parler des conséquences physiques encourues, concentrons-nous plutôt sur les dégâts matériels aux machines et, en ce qui nous concerne, sur la résistance des stickers et leur couche de protection.

        Notre pilote Alison Parker a chuté dans la spéciale test du vendredi soir et aussi dans l'extrême. Les dommages causés à sa moto sont pourtant minimes à en croire les images que nous avons ramenées. Est-ce à dire que les couches de protection des vinyles sont plus résistantes que par le passé? Ou que les fabricants ont enfin trouvé la matière capable de faire son boulot?

        En tout cas, nous avons été agréablement surpris de la résistance offerte par nos produits. Et on ne peut pas dire que le temps était clément à Noirétable le week-end dernier... 

      La boue ennemie n°1:

        La pluie et donc la boue sont des éléments qu'on ne peut dissocier de l'enduro. Avec le temps, les teams se sont adaptés à ces conditions. C'était le cas à Noirétable. Les trois images suivantes parlent d'elles-mêmes... et dire que nous insistons chaque jour pour que vous nous fassiez de belles motos!

      

        A demain pour de nouvelles réflexions sur nos découvertes à Noirétable. Et comme d'habitude, entre-temps, ramenez-nous de belles motos!